Bio
2024 - A venir
/ Exposition personnelle, Galerie Marguerite Milin, Paris (France)
2023
/ Art-Karlsruhe, Galerie Charron (Allemagne)
2022
/ Paris Gallery Weekend, Galerie Charron chez Popy Arvani, Paris (France)
2021
/ Le Vernissage, Habeas Arte X curatrice Valérie Arconati, Paris (France)
/ Habeas Arte, Intimacy, curateur Philippe Maignan, Paris (France)
2020
/ Transperceptions, Institut culturel bulgare, Paris (France)
/ Contemploductos caseros, Galeria Nueva, curatrice Géraldine Dufournet, Madrid (Espagne)
/ Heaven, Galerie VivoEquidem au 24Beaubourg, Paris (France)
Duo show Domitille Ortès /Sylvester Engbrox
2017
/Garder le Cap, Galerie Valérie Delaunay, curatrice Lia Rochas, Paris (France)
2016
/Le Sein-dessin, Galerie VivoEquidem, curatrice Madeleine Filippi, Paris (France)
2015
/ Programmation solo show Galerie Gowen Contemporary, Genève (Suisse)
/ Solo show, fotofever, photography art fair, Little Birds Gallery, Paris (France)
/ cutlog (peintures dessins) Hôtel de l'Industrie, curatrice Géraldine Dufournet, Paris (France)
2014
/ fotofever, photography art fair, Little Birds Gallery, Paris (France)
/ MIA&D, photography art fair, Little Birds Gallery, Singapour
2013
/ fotofever, photography art fair, Little Birds Gallery, Paris (France)
/ fotofever, photography art fair, Little Birds Gallery, Bruxelles (Belgique)
2011
/ No comment, Galerie Metropolis, Paris (France)
/ Solo show, Habeas corps, Galerie Metropolis, Paris (France)
/ Drawing Now, Carrousel du Louvre, Galerie Metropolis, Paris (France)
/ Art Paris Art Fair, Grand Palais, Galerie Metropolis, Paris (France)
2010
/ Le Drame de Mayerling, Galerie Metropolis, Paris (France)
2008/09
/ Galerie Espace Art 22, Bruxelles (Belgique)
2007
/ Intimacy, Galerie Sara Guedj, Paris (France)
2005
/ Perspectives contemporaines, Galerie Vedovi, Bruxelles (Belgique)
Collection publique
/ Fonds National d’Art Contemporain, Paris (France)
Collections privées
/ Paris (France) / Londres (UK) / New York (USA) / Genève (Suisse)
/ Vit et travaille à Paris (France)
/ Diplômée de l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris
(avec les félicitations du jury)
/ Exposition personnelle, Galerie Marguerite Milin, Paris (France)
2023
/ Art-Karlsruhe, Galerie Charron (Allemagne)
2022
/ Paris Gallery Weekend, Galerie Charron chez Popy Arvani, Paris (France)
2021
/ Le Vernissage, Habeas Arte X curatrice Valérie Arconati, Paris (France)
/ Habeas Arte, Intimacy, curateur Philippe Maignan, Paris (France)
2020
/ Transperceptions, Institut culturel bulgare, Paris (France)
/ Contemploductos caseros, Galeria Nueva, curatrice Géraldine Dufournet, Madrid (Espagne)
/ Heaven, Galerie VivoEquidem au 24Beaubourg, Paris (France)
Duo show Domitille Ortès /Sylvester Engbrox
2017
/Garder le Cap, Galerie Valérie Delaunay, curatrice Lia Rochas, Paris (France)
2016
/Le Sein-dessin, Galerie VivoEquidem, curatrice Madeleine Filippi, Paris (France)
2015
/ Programmation solo show Galerie Gowen Contemporary, Genève (Suisse)
/ Solo show, fotofever, photography art fair, Little Birds Gallery, Paris (France)
/ cutlog (peintures dessins) Hôtel de l'Industrie, curatrice Géraldine Dufournet, Paris (France)
2014
/ fotofever, photography art fair, Little Birds Gallery, Paris (France)
/ MIA&D, photography art fair, Little Birds Gallery, Singapour
2013
/ fotofever, photography art fair, Little Birds Gallery, Paris (France)
/ fotofever, photography art fair, Little Birds Gallery, Bruxelles (Belgique)
2011
/ No comment, Galerie Metropolis, Paris (France)
/ Solo show, Habeas corps, Galerie Metropolis, Paris (France)
/ Drawing Now, Carrousel du Louvre, Galerie Metropolis, Paris (France)
/ Art Paris Art Fair, Grand Palais, Galerie Metropolis, Paris (France)
2010
/ Le Drame de Mayerling, Galerie Metropolis, Paris (France)
2008/09
/ Galerie Espace Art 22, Bruxelles (Belgique)
2007
/ Intimacy, Galerie Sara Guedj, Paris (France)
2005
/ Perspectives contemporaines, Galerie Vedovi, Bruxelles (Belgique)
Collection publique
/ Fonds National d’Art Contemporain, Paris (France)
Collections privées
/ Paris (France) / Londres (UK) / New York (USA) / Genève (Suisse)
/ Vit et travaille à Paris (France)
/ Diplômée de l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris
(avec les félicitations du jury)
Vit et travaille à Paris (France).
Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, Domitille Ortès utilise plusieurs techniques et médiums dans son travail : la peinture, le dessin, la photographie, la vidéo… Certaines de ses oeuvres se trouvent dans des collections internationales en France, Suisse, Grande-Bretagne et aux Etats-Unis.
«Le contexte de ce que dit Domitille Ortès est le plus souvent celui de l’enfance, de la première jeunesse, de cette période équivoque où la famille constitue une véritable hétérotopie, un espace clos bien déterminé dans l’institution même de la société, isolant les individus dans une sorte d’illusion qui dénonce cependant tous les autres espaces réels comme plus illusoires encore ; un lieu où tout doit être possible et qui peut devenir selon les circonstances un espace de déviation.
En prenant un raccourci, nous pourrions dire que Domitille Ortès peint des images de substitution. Ses sujets, ses points de vue, ses cadrages, ses thèmes rappellent un certain type d’image photographique. Il est d’ailleurs probable que ces images existent. C’était comme si l’essence du réel caché de la photographie se transfusait dans l’acte du peintre et que l’œuvre acquérait des capacités de divulgation. L’artiste deviendrait alors un révélateur, conscient ou non, volontaire ou non.
Les titres des œuvres de Domitille Ortès fonctionnent comme des excitateurs indiciels. Ils n’expliquent pas, ne décrivent pas, au contraire, ils installent l’incertitude.
À cette confondante réalité d’un paradis hautement ambigu, mais ardemment désiré sans aucun doute, elle nous convie sans état d’âme. L’irréel devient une réalité casuelle, le visible effleure l’indicible et le dicible se regarde difficilement. Avec beaucoup d’équivoque, l’artiste laisse le spectateur confronté à de potentiels doutes.
Je dis sans état d’âme parce que Domitille Ortès n’affirme rien, n’insinue rien, ne dénonce rien et ne revendique rien. Elle reste en retrait. Ses représentations ne sont même pas des suggestions, les stimuli sont bien trop subtils et contradictoires. Elle laisse le soin au spectateur de pousser ou non la porte derrière laquelle il y a, ou il n’y a pas. Et ce non-parti pris est aussi bien évidemment un facteur de doute.»
Extrait du texte (Comment ne pas voir ?) de Max Torregrossa
écrit pour l’exposition Heaven (mars-mai 2020 - Galerie VivoEquidem - 24Beaubourg
Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, Domitille Ortès utilise plusieurs techniques et médiums dans son travail : la peinture, le dessin, la photographie, la vidéo… Certaines de ses oeuvres se trouvent dans des collections internationales en France, Suisse, Grande-Bretagne et aux Etats-Unis.
«Le contexte de ce que dit Domitille Ortès est le plus souvent celui de l’enfance, de la première jeunesse, de cette période équivoque où la famille constitue une véritable hétérotopie, un espace clos bien déterminé dans l’institution même de la société, isolant les individus dans une sorte d’illusion qui dénonce cependant tous les autres espaces réels comme plus illusoires encore ; un lieu où tout doit être possible et qui peut devenir selon les circonstances un espace de déviation.
En prenant un raccourci, nous pourrions dire que Domitille Ortès peint des images de substitution. Ses sujets, ses points de vue, ses cadrages, ses thèmes rappellent un certain type d’image photographique. Il est d’ailleurs probable que ces images existent. C’était comme si l’essence du réel caché de la photographie se transfusait dans l’acte du peintre et que l’œuvre acquérait des capacités de divulgation. L’artiste deviendrait alors un révélateur, conscient ou non, volontaire ou non.
Les titres des œuvres de Domitille Ortès fonctionnent comme des excitateurs indiciels. Ils n’expliquent pas, ne décrivent pas, au contraire, ils installent l’incertitude.
À cette confondante réalité d’un paradis hautement ambigu, mais ardemment désiré sans aucun doute, elle nous convie sans état d’âme. L’irréel devient une réalité casuelle, le visible effleure l’indicible et le dicible se regarde difficilement. Avec beaucoup d’équivoque, l’artiste laisse le spectateur confronté à de potentiels doutes.
Je dis sans état d’âme parce que Domitille Ortès n’affirme rien, n’insinue rien, ne dénonce rien et ne revendique rien. Elle reste en retrait. Ses représentations ne sont même pas des suggestions, les stimuli sont bien trop subtils et contradictoires. Elle laisse le soin au spectateur de pousser ou non la porte derrière laquelle il y a, ou il n’y a pas. Et ce non-parti pris est aussi bien évidemment un facteur de doute.»
Extrait du texte (Comment ne pas voir ?) de Max Torregrossa
écrit pour l’exposition Heaven (mars-mai 2020 - Galerie VivoEquidem - 24Beaubourg